jeudi 31 janvier 2013

Bar N°67 - Radisson Blu (6, place Aristide Briand)

Je sais, je sais, ce n'est pas un bar mais un hôtel de luxe. Oui, mais on avait envie de voir comment ils avaient transformé notre ancien Palais de justice. Alors, on est entré et par politesse, on est resté prendre un verre. Le verre en question, pour moi, était un Muscadet. 8€ pour un verre de Muscadet, sachant que je peux en avoir trois bouteilles chez mon voisin vigneron pour le même prix, ça fait mal. Oui mais mon voisin ne me joue pas du piano pendant la dégustation...
Installés dans une déco ultra moderne entre ces murs anciens qui en ont vu des vertes et des pas mûres durant des décennies, nous avons siroté notre vin (à ce prix-là, on prend son temps pour boire) en faisant pivoter nos fauteuils violets et rouges et en essayant de reconnaître les musiques de films que le pianiste nous interprétait sur son instrument immaculé.

+
  • Déco moderne
  • Super WC avec de vraies serviettes que tu jettes dans une corbeille après utilisation
  • Ils ont gardé l'aspect Palais de justice ("Entrée de jurés"...). Il paraît qu'on retrouve même les marques de balles de la prise d'otage de 1985. Mais je n'ai pas osé demander où c'était.
  • Olives, cacahuètes, noix de cajou... sans avoir besoin de réclamer
  • Serveur trop classe et aux petits soins
  • Piano
-
  • Le prix bien sûr, faut pas rêver
  • Ambiance froide
  • On parle tout doucement pour ne pas déranger
  • C'est un hôtel, pas un bar

Bar N°66 - Monsieur Machin (5, rue Saint-Léonard-Nantes) ex-(Entre parenthèses) ex-Le Clou qui r'ssort

Après Le Clou qui r'ssort, la team (par respect ou par goût) n'a jamais remis les pieds au 5 rue Saint-Léonard. Il faut dire que le bar (Entre parenthèses), dans son décor comme dans sa clientèle, était à l'opposé du Clou. Les néons bleus et le zinc chromé ne présageaient rien de bon. Pas envie de boire un cocktail bleu non identifié à 9€.

Mais aujourd'hui, le bar a re-re-changé de nom et, même s'il ne ressemble pas au Clou qui r'ssort, on y retrouve un peu de ce que l'on aimait jadis. Une déco simple et chaleureuse (quoiqu'un peu trop simple peut-être), de la bonne musique, pas de néons ni de choudoudoux... C'est pourquoi on s'est dit que, cette fois, on allait y faire un tour et prendre des notes. Malheureusement, je n'avais pas mon carnet sur moi ce soir-là. C'est donc Martimini qui a consigné nos remarques dans son propre calepin. J'attends de récupérer les infos et je vous dis quoi ;-)


En attendant, vous pouvez toujours aller sur ce lien : Le Facebook de Monsieur Machin